CONNECTED

Du au

CENTRALE | hall

Le temps d’un parcours surprenant et inédit, l’exposition CONNECTED se découvre comme un voyage entre réel et virtuel à travers des univers de création singuliers et révèle l’utilisation des nouvelles technologies au service des arts visuels. Soulignant l’identité de l’ancienne centrale électrique qui les abritent, les œuvres réunies interrogent le thème de la connexion – tant physique que psychique – de la création artistique à son auteur comme au spectateur. Le public lui-même est appelé à s’impliquer activement dans cette rencontre et à interagir avec l’œuvre : il est à son tour connecté et happé par des corps-machines, des créations d’images en 3D animées, des séquences vidéos interactives… Plus de vingt artistes belges et internationaux signent cette invitation à vivre d’étonnantes expériences sensorielles et perceptions virtuelles.

© Thomas ZIPP

Exposition

Aleksandra CHAUSHOVA

Annulment of the End of Things

Du au

CENTRALE | lab

A partir des plans du mausolée de Georgi Dimitrov à Sofia (la ville natale de l’artiste), Chaushova a construit une pièce de théâtre tragicomique intitulée « Annulment of the End of Things » (l’annulation de la fin des choses). A côté des plans qui témoignent du passé historique de ce bâtiment construit à la gloire d’un héros national qu’elle décrypte pour revisiter un épisode de l’histoire de la guerre froide, Chaushova expose des dessins au graphite noir d’une grande maîtrise technique et des livrets contenant les textes de la pièce. L’étrange atmosphère de ses dessins combinent costumes de scène et iconographie de chasse.

© Aleksandra CHAUSHOVA

 

Exposition

Kasper BOSMANS

Cintamani Weavings

Du au

CENTRALE | box

Kasper Bosmans présente pour la première fois une série de tapisseries inspirées de la tradition ottomane comportant le motif Cintamani (trois sphères qui forment un triangle surplombant deux lignes ondulantes). Ces broderies furent réalisées à partir d’une reproduction de tapisseries de la collection du Metropolitan Museum de New-York selon la technique du Rhadi Phaki par des ouvriers népalais bouddhistes. Par cette relecture d’un motif ancestral empreint de valeur spirituelle, l’artiste souligne la perte de signification des symboles à travers le temps et les cultures.

© Kasper BOSMANS

Exposition

Gregory BUCHERT

Les six premiers jours il ne fit rien. Au septième, il se reposa

Du au

CENTRALE | box

Les oeuvres de Gregory Buchert se déclinent principalement en vidéos et performances, et sont nourries de nombreuses références littéraires (Joyce, Perec, Gide ou Calvino). Jouant sur les notions d’échec et d’irrésolu, les récits qu’il imagine, dont il est tour à tour protagoniste ou conteur, interrogent notre besoin d’achèvement. En quelques gestes ténus, dont découlent souvent des situations rocambolesques, son travail nous propose des pistes de réflexion sur l’être au monde de l’artiste, mais aussi, par extension, de chacun d’entre nous. Depuis deux ans, Gregory Buchert mène également une « enquête de terrain » visant à interroger ce que deviennent les oeuvres d’art qui, au sortir du temps d’exposition, n’entrent dans aucune collection, et réintègrent l’anonymat des appartements, des maisons ou des ateliers de leur auteur. Ces recherches, comme une tentative d’autocritique, questionnant l’art comme pratique aboutie de l’encombrement, ont donné lieu à une performance intitulée « Le Musée domestiqué », présentée en février 2015 au Centre Georges Pompidou, dans le cadre du festival Hors-Pistes. Représenté par la galerie Jérôme Poggi, le travail de Gregory Buchert a été notamment exposé à la Kunsthaus Baselland (Bâle), au CRAC Alsace, au FRAC Bretagne, au Loop festival de Barcelone, à la Motorenhalle de Dresde, ainsi que dans la galerie Jeanine Hofland (Amsterdam). En 2011, son film « 858 pages plus au sud » a remporté le prix Analix, décerné par la journaliste Laure Adler et la galeriste Barbara Polla. Ses oeuvres sont présentes dans la collection départementale d’art contemporain de Seine Saint-Denis et du FRAC Alsace.

© Gregory BUCHERT

Exposition

Weifu & Ruifu GUO

SEEK • 寻

Du au

CENTRALE | lab

Réalisées sur toile et sur bois, les œuvres des jumeaux d’origine chinoise figurent un labyrinthe 3D qui sonde l’espace et l’univers.

« Nous avons choisi de créer des œuvres relatives à l’espace et par extension à  l’Univers, les œuvres ont été réalisées sur toile et bois avec un labyrinthe en trois dimensions. Nous voulons exprimer l’idée du développement et du progrès continu de l’humanité. Les gens cherchent  à approfondir éternellement leur connaissance du monde, tout en explorant le labyrinthe qui les entoure. Comme un mythe. »

Exposition

Artistes

NUIT BLANCHE @ CENTRALE

Du au

CENTRALE | hall

150_prepared_dc_motors_230_kg_wood_180m_rope

Zimoun [CH] // 150 prepared dc-motors, 230 kg wood, 180 m rope | Zimoun 2015

03/10 – 20:00 > 05:00 – FREE
04/10 – 10:30 > 18:00 – FREE
CENTRALE for contemporary art
Place Sainte-Catherine 44

À partir des objets simples et fonctionnels du quotidien, l’artiste et architecte sonore suisse Zimoun réinvente la distance entre le chaos et le rythme, le silence et le bruit, le spontané et le planifi é. En ordonnant de manière presque obsessionnelle les choses les plus triviales (boites en carton, morceaux de bois, balles de coton…) dans de monumentales installations, il crée des structures sonores qui, malgré leur simplicité initiale, se révèlent progressivement être des systèmes complexes, quasi organiques. Laissez le magicien Zimoun vous hypnotiser !

C19H2802

Dorothée Smith [FR] // C19H2802 (Agnès)

03/10 – 20:00 > 02:00 – FREE
CENTRALE.lab
Place Sainte-Catherine 16

L’artiste multimédia et photographe née à Paris Dorothée Smith crée une oeuvre hybride qui explore les constructions, déconstructions et mutations de l’identité. À la CENTRALE/lab, le nouvel espace laboratoire de la CENTRALE, elle présente une ‘installation vidéo transdisciplinaire’ relatant l’histoire d’Agnès, un garçon qui renaît fi lle après avoir ingéré une substance synthétique. Une oeuvre fantastique où la grâce émane du trouble.

 

nuitblanchebrussels.be

 

 

Exposition

Mystic Transport – Gülsün KARAMUSTAFA & Koen THEYS

EUROPALIA Arts Festival Turkey

Du au

CENTRALE | hall

La CENTRALE et Argos proposent un dialogue inattendu entre l’artiste turque Gülsün Karamustafa (1949) et l’artiste bruxellois Koen Theys (1963) dans le cadre du volet « créer ensemble » du EUROPALIA Arts Festival Turkey. Dans ses vidéos, installations, et peintures, Gülsün Karamustafa explore des thèmes qui acquièrent une dimension particulière au vu de l’actualité récente : l’ancrage culturel, l’idée du déplacement, de la migration. Koen Theys porte un regard très critique sur notre société et ses contradictions et exprime sa fascination pour les mythes, la répression et l’autorité. Ses oeuvres puissantes incarnent la perte de réalité dans un monde surmédiatisé. La confrontation des oeuvres des deux artistes intensifie leur impact visuel et souligne leurs contenus : questionnement de la place de l’individu dans une société en constante mutation à travers des thématiques universelles telles que l’identité et les conventions culturelles.

En collaboration avec ARGOS

© Gülsün KARAMUSTAFA & Koen THEYS

 

 

Exposition

Max PINCKERS

Will They Sing Like Raindrops or Leave Me Thirsty

Du au

CENTRALE | box

2e lauréat du prix Art’Contest 2014

Inspirées et influencées par les paradigmes Bollywoodiens de l’industrie du cinéma indien, ces photographies offrent un éventail de scénarios qui combinent humour, pathos, allégorie et drame, dans l’objectif de produire une représentation nuancée et élégiaque de la conception de l’amour, si paradoxale et ironique soit-elle, dans l’Inde d’aujourd’hui. Dans un pays qui tente sans cesse de concilier tradition et modernité, valeurs religieuses et valeurs laïques, l’institution du mariage et la possibilité de s’engager dans une alliance romantique sont fortement délimitées par les réalités socioculturelles qui se trouvent coincées entre la nostalgie du passé et l’imagination du futur.

Extrait du site Art’Contest http://www.artcontest.be/?artist=max-pinckers

© Max PINCKERS

Exposition

Artist

Faber LORNE

Obiit

Du au

CENTRALE | box

Lauréat du Prix de la Ville de Bruxelles du Prix Médiatine 2014, Faber Lorne, artiste autodidacte au parcours singulier, considère sa pratique en termes de nécessité et de désir d’art. « Faber n’est pas le prénom que mes parents m’ont donné mais mes amis à l’âge de 13 ans, témoigne-t-il. En latin faber, fabri, c’est l’ouvrier ou celui qui oeuvre avec art. Il s’avère que j’ai été ouvrier pendant longtemps et qu’en 2009, à la suite de chocs psychiques et physiques, j’ai décidé de manière arbitraire de devenir artiste. Je suis passé d’une définition à une autre, j’ai changé de boîte à outils. »

A partir de cet instant c’est l’expression artistique qui a fait autorité dans son existence, cependant fortement et visiblement imprégnée par ses activités antérieures, surtout par le choix des matériaux : treillis de chantier, bois récupérés, palettes de chargements,…. « J’ai toujours produit en fonction de ce que j’avais, explique-t-il, je crois que le manque de moyens pousse à être inventif. » Faisant de contraintes vertu l’artiste propose une exploration des formes par la transformation d’objets en installations.

Marqué par une expérience psychanalytique et par la lecture de L’anti-OEdipe de Deleuze et Guattari il crée des installations et peintures qui se déploient comme autant d’énigmes du sous-jacent, du caché et du dévoilement. « Comme mon expérience psychanalytique l’a été, la production artistique est pour moi un espace-temps propice à de nouvelles négociations entre réalité et perception. Les gestes posés, le sont au travers de personnages inventés. De cette fuite, j’explore des processus de production qui, non motivés par le sens de leurs actions mais bien par la liberté, l’inutilité ou l’incongruité. » Faber Lorne dévoile « l’intérieur d’une topographie du désir tracée par le couplage des objets/signes entre eux, afin d’explorer les mécanismes psychiques de l’homme comme le désir, le fantasme, l’anxiété, l’aliénation, la paranoïa,…»

Pour la CENTRALE/box il propose une installation dans laquelle peinture et installation d’objets entrent parfaitement en résonance.

© Faber LORNE

Exposition

Artist

Benoît Félix

Jeu de jambes

Du au

CENTRALE | hall

Installation vidéo en vitrine du 13 rue Sainte-Catherine
Dans le cadre de Performatik

Ambiguïté, humour et transgression caractérisent l’œuvre de l’artiste plasticien Benoît Félix. Au cours de Performatik, il présente sept performances vidéo dans lesquelles il interprète le rôle de celui qui réalise ou dessine quelque chose, et montre la façon dont l’objet ou le dessin suit son propre chemin après, indépendamment de son créateur.

Après une formation artistique à Bruxelles, Benoît Félix (1969) a étudié la psychanalyse lacanienne. Il a travaillé dans des centres psychiatriques avec des enfants et des adultes. Cela a influencé son œuvre, à savoir sa recherche sur le « langage », le « corps » et l’« image » et sur la façon d’articuler ces trois registres.

© Benoit FELIX

 

 

Exposition

Artist