Sandra BIWER

Du au

B-Gallery

Dessin / Sculptures en papier

Mon travail se présente le plus souvent sous forme d’installations, qui questionnent le lieu et le contexte donné.
Où se situe la limite entre la deuxième et la troisième dimension ? Quels sont les liens, les similitudes et les contradictions que l’aplat et le volume peuvent présenter ?
Durant ce questionnement une infinité de possibilités se profilent et impliquent une confrontation au lieu et au contexte d’exposition. Mon intention est de définir un certain espace, cette infime limite entre deux choses, ressenti comme une vibration à peine perceptible.

© Sandra BIWER

Exposition

Artist

Marie-Laure DELABY

The owls are not what they seem

Du au

B-Gallery

Peinture / Installations multimédias

Comme le dit si bien cette réplique de la série télévisée « Twin Peaks » (David Lynch & Mark Frost, 1990-1991), les apparences sont trompeuses. Qu’il s’agisse de bois obscurs ou de couloirs de métro, nous ne sommes que très peu conscients des réalités cachées et mondes parallèles qui les habitent.
S’inspirant d’espaces urbains croisés au quotidien, le travail de Marie-Laure Delaby fait appel à ces réalités parallèles : en transitant de la photographie à l’installation, en passant par la peinture, l’image devient l’écrin de notre imagination. Son oeuvre questionne notre environnement contemporain au travers de multiples manipulations du médium.
Ainsi, l’exposition «The owls are not what they seem» amène le spectateur à la découverte de différents états de mutation de l’image peinte. Transformée en installation réactive ou en surface de projection, elle devient génératrice d’illusions, questionnant la réalité de l’espace, de l’image et de l’expérience vécue.

© Marie-Laure DELABY

Exposition

Sandrine MORGANTE

Et je n'ai pas un coeur d'or

Du au

B-Gallery

Dessin / Installation de projections vidéo

Un dialogue entre les spécificités du dessin et celle de la vidéo révèle l’état d’incommunicabilité du personnage.
Projection d’un extrait de film sur un dessin : un visage féminin, dans un moment d’émotion intense, est gêné par une tache. C’est la trace des mouvements de sa bouche image après image et du défilement des sous-titres s’il y en a.
Le spectateur est balancé entre une position distanciée et une forte empathie.
Le processus lui-même est à la fois froid (décomposition systématique du morceau de film) et émotif (l’artiste vient masquer ou soigner cette bouche geste après geste, obsessionnellement).

© Sandrine MORGANTE

Exposition

Stéphanie ROLAND

«_ _ : _ _»

Du au

B-Gallery

Photographie / Installation

Le temps semble gelé.
Que s’est-il passé dans ces paysages nocturnes et mystérieux ?
Pourquoi sont-ils vides de présence humaine ?
Quand ont-ils été photographiés ?
Ces paysages sont des mélanges d’espaces différents photographiés à divers moments de la journée, ce qui crée un sentiment d’étrangeté. Avec leur forme épurée, ils constituent des archétypes des lieux que l’on a connus. Mais les souvenirs sont brouillés, manipulés; les endroits où nous marchions avec insouciance chaque jour, nous paraissent maintenant étrangers et menaçants. Notre mémoire nous aurait-elle trahis ?
Cette exposition est le lieu de construction d’une fiction, celle d’un monde suspendu, qui a pris le temps de s’arrêter.

© Stéphanie ROLAND

Exposition

Maxim FRANK & Sven LAURENT

Du au

B-Gallery

Sculpture / Photographie / Installation

Dans la continuité de leur collaboration, Sven Laurent et Maxim Frank confrontent la sculpture à l’image ou plus largement le volume au plan.
Les deux artistes désirent impliquer et confronter le spectateur à différentes formes de lecture, l’invitant parfois à s’engager physiquement auprès des oeuvres. Cependant, il reste libre de choisir sa propre lecture par la multitude de points de vue possibles. En effet, chacune des pièces est présentée de manière à offrir une double visibilité : d’une part depuis l’extérieur de la galerie, offrant plutôt une vue d’ensemble et frontale, d’autre part, depuis l’intérieur, où la lecture se fait plutôt en profondeur et en intimité avec les différents travaux.

© Maxim FRANK & Sven LAURENT

Exposition

Thomas BERNARDET

Du au

B-Gallery

Vidéo projection / Installation

« Parmi le réel, ce fond commun de signes et de choses qui nous entourent, Thomas Bernardet extrait de l’ordinaire ce qui peut devenir par la suite un point de vue particulier. Cette vision personnelle s’inscrit dans la multitude de ses influences culturelles. Son « regard » saisit ce que tous les « regards » peuvent voir. Cela peut-être un simple fait d’actualité ou de l’ordre de l’emprunt, à l’histoire de l’art par exemple. Thomas Bernardet prélève donc dans le réel ce qui attire son attention et le laisse mûrir sous forme de « documents de travail ». Parmi ce qui est intuitivement collecté, certains « documents » vont avec le temps plus particulièrement se « révéler », comme on le dit en photographie, et faire apparaître le reflet d’une conscience à laquelle on ne prêtait pas attention. » -Extrait d’un texte de Martial Déflacieux

© Thomas BERNARDET

Exposition

Frédéric ROLLAND

Collection Temporaire

Du au

B-Gallery

Installation

Frédéric ROLLAND promène son regard sur le monde et s’interroge sur le sens de ce qu’il regarde. Aujourd’hui c’est la B-GALLERY qu’il observe, et le processus d’exposition qu’il interroge.
En collaboration avec les artistes lauréats des années précédentes, qui jouent le jeu d’une collaboration, il confronte des pratiques artistiques éclectiques aux choix des spectateurs et à leurs regards :

• Comment présenter des oeuvres variées ?
• Collection ou Exposition ?
• Quelle médiation pour quel choix?

Avec Collection Temporaire, entre installation d’artiste et proposition de commissaire, Frédéric ROLLAND vous propose de découvrir le résultat de ses recherches et de faire l’expérience de la B-Gallery.

© Frédéric ROLLAND

Exposition

Gert DE CLERCQ

Closed

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B-Gallery

Installation

L’oeuvre de Gert De Clercq comprend des objets, des actions et des phénomènes qui prennent une touche subtile à partir d’une base banale et évidente. De cette manière, il opère des enregistrements de ce qu’il ne peut pas enfermer dans des descriptions et tente de les visualiser. Résultat : de petits récits au caractère stylé et fort. Parfois, les oeuvres semblent devoir être comprises dans un sérieux absolu, mais souvent, une charge de cynisme semble émaner d’elles.

© Gert DE CLERQ

Exposition

Elisabeth SRI UNGGUL IDA MULYANI

A l’intérieur des ambassades en Belgique [2009]

Du au

B-Gallery

Photographie

Bruxelles accueille non moins de 170 nationalités ; c’est une ville universelle. Elisabeth Sri Unggul Ida Mulyani explore ces différentes nationalités. Elle ne se contente pas de montrer leurs différences culturelles pures et simples, mais en donne une vision plus universelle et approfondie. Cette série de photographies donne également à ceux qui la regardent l’occasion de connaître ces bureaux au-delà de la salle d’attente ou des guichets pour visas. La lecture des images devrait nous permettre de voir des choses que nous n’imaginerions même pas lorsque nous nous trouvons dans ces locaux. Chaque bureau d’ambassade s’évertue à présenter son pays en exposant des objets traditionnels ou spécifiques comme des photos et des drapeaux. Les compositions et les objets sont photographiés de manière à ce qu’ils deviennent une composition trouvée.

© Elisabeth SRI UNGGUL IDA MULYANI

Exposition

Marco DI CARLO

Du au

B-Gallery

Installation

Mes oeuvres ont un impact physique. La taille, la matérialité, le contenu sont tout d’abord des expériences auxquelles je suis confronté. Puis s‘initient la lecture, la compréhension, sans savoir.
L‘important dans mon travail est de rendre mes oeuvres incompréhensibles et ‘expérimentables’ à la fois, ce qui est une façon de comprendre, je crois.

© Marco DI CARLO

Exposition